Transcription : Bob Robinson évoque l'attrait de GWG pour les cowboys.
Bob Robinson
Et de un, ils n'ont jamais lésiné sur la qualité. Comme toutes les grandes compagnies qui bougent, quand elles changent quelque chose, si c'est pour le mieux ça va, mais si c'est une erreur, c'est une grosse erreur. Si on commence à faire des tailles basses et que ça ne marche pas, tu es dans le pétrin, on a tout de suite plein de démarques. Mais ça a marché.
On peut voir sur cette photo de moi avec des Cowboy Kings, l'enfourchure montait jusque là,
Wrangler, c'était juste comme GWG ; ils n'avaient pas de jean à taille basse au début non plus. C'était une sorte de compagnie dans l'est des États-Unis. Quand ils ont commencé, ils avaient les meilleurs cowboys des rodéos, comme Jim Shoulders et autres, et ils avaient Nudie, le type qui faisait les costumes Nudie, il dessinait les jeans avec Jim Shoulders. Si Jim Shoulders portait ce jean, tout le monde le portait, c'est comme ça qu'ils voyaient les choses.
Leur dernier jean avant que je parte, Tommy Bewes et les jeunes types qui faisaient encore du rodéo le portaient, ils le portaient beaucoup. Il y avait pas mal de cowboys qui le portaient souvent.
Vous vous souvenez du Bum-bum ? GWG a commandité les Canadian Finals pendant trois ans,
On a organisé un concours Bum-bum avec les filles au Colisée. Chaque soir on avait les filles, je crois que c'était juste avant le rodéo, elles entraient dans l'aréna avec un jean et on jugeait le plus beau derrière.
Ils donnaient une voiture. Masi ça marchait, ça marchait ...
[1:48]